Trouver la paix avec Marie dans le monde d’aujourd’hui

Saint Louis-Marie de Montfort a joui plusieurs fois du charisme de prophétie. On peut lire, par exemple, dans sa Prière embrasée : « Votre divine loi est transgressée, votre Evangile est abandonné, les torrents d’iniquité inondent toute la terre et entraînent jusqu’à vos serviteurs, toute la terre est désolée, l’impiété est sur le trône, votre sanctuaire est profané et l’abomination est jusque dans le lieu saint… Tout deviendra-t-il à la fin comme Sodome et Gomorrhe ?   Ah ! Permettez-moi de crier partout : au feu, au feu, au feu ! A l’aide, à l’aide, à l’aide ! Au feu dans la maison de Dieu, au feu dans les âmes, au feu jusque dans le sanctuaire ! A l’aide de notre frère qu’on assassine, à l’aide de nos enfants qu’on égorge, à l’aide de notre bon père qu’on poignarde !  Seigneur, levez-vous ! Pourquoi semblez-Vous dormir ? » (5, 28 et 30).

Cette prophétie, écrite au début du XVIIIe siècle, est étonnante d’actualité. On y trouve : 1) le libéralisme, dans la divine loi transgressée ; 2) l’apostasie, dans l’Evangile abandonné ; 3) l’impudicité s’étalant dans les rues et se déversant dans les torrents d’iniquité qui inondent toute la terre ; 4) les défections et scandales des âmes consacrées, dans les serviteurs de Dieu entraînés par ces torrents d’iniquité ; 5) les catastrophes naturelles, dans la terre désolée ; 6) les gouvernements maçonniques, dans l’impiété qui est sur le trône ; 7) les messes sacrilèges, à travers le sanctuaire profané ; 8) l’homosexualité, lorsqu’il parle de Sodome et Gomorrhe ; 9) l’œcuménisme d’Assise, lorsqu’il dénonce l’abomination dans le lieu saint ; 10) l’insécurité permanente qui se cache derrière le frère qu’on assassine ; 11) l’avortement qui transparaît derrière les enfants qu’on égorge ; 12) l’euthanasie que révèle le bon père qu’on poignarde.

En 2017, à l’occasion de la publication du livre Une pensée par jour, Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (Éditions Clovis), le passage qu’on vient de citer était choisi pour la date du 15 avril. Or, deux ans plus tard, à cette même date, Notre-Dame brûlait à Paris : « Au feu, au feu, au feu ! Au feu dans la maison de Dieu, au feu dans les âmes, au feu jusque dans le sanctuaire ! » Prophétique encore !

Après le XVIIIe siècle passons aux XIXe et XXe. Il y a plus de 15 ans, je tentais de faire une petite théologie de notre histoire contemporaine à partir d’affirmations des deux frères Huxley, Julian et Aldous, glanées dans le livre écrit par Epiphanius intitulé Maçonnerie et sectes secrètes paru aux Publications du Courrier de Rome (2000). Dans ce petit travail, je disais que, si le XIXe siècle a été le siècle du Libéralisme et le XXe siècle celui du Communisme, le XXIe siècle sera celui du Mondialisme. Thèse, antithèse, synthèse : c’est la « logique » de la pensée hégelienne.

Je décrivais ensuite le Mondialisme en ces termes : un Libéralisme-communiste ou un Communisme-libéral. C’est-à-dire, une synthèse et une fusion entre le Libéralisme et le Communisme. Plus précisément ? « Un système juridique dans lequel la législation n’autorise et ne favorise que l’erreur et le vice, et interdit et sanctionne la vérité et la vertu.» En définitive, c’est « un esclavage juridique imposant tyranniquement au genre humain le faux et le mal ».

Cette analyse, je ne l’ai pas inventée. Elle a été élaborée par les deux frères Huxley, avant même 1989, année de la chute du mur de Berlin. Sir Julian Huxley (+1975), premier directeur général de l’UNESCO, a rédigé un opuscule dans lequel il affirme : « Le conflit (entre capitalisme et communisme) peut être évité et les contraires réconciliés ; cette antithèse peut-elle être résolue par une synthèse supérieure ? Je crois non seulement que cela peut se produire, mais qu’à travers l’inexorable dialectique de l’évolution cela doit se produire… Je suis convaincu que cette synthèse réalisée à temps pour prévenir un conflit ouvert doit constituer le but dominant de l’UNESCO. » (op. cit. p. 311).

Son frère Aldous (+ 1963) explique, dans la Préface du Meilleur des mondes, que cette nouvelle société trouvera un levier puissant dans le vice : « Au fur et à mesure que la liberté politique et économique diminue, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître à titre de compensation. Et le dictateur sera bien avisé d’encourager cette liberté. S’ajoutant au droit de rêver sous l’influence de la drogue, du cinéma, de la radio, elle contribuera à réconcilier avec l’esclavage ceux dont il est le destin. » (op. cit. p. 369) Le destin des masses ? L’esclavage de l’impureté sous l’influence des médias et, même s’il ne le savait pas encore, d’internet.

En 1961, Aldous Huxley fit même allusion à la possibilité de créer « une sorte de camp de concentration mental non douloureux pour des sociétés entières, un lavage de cerveau par des méthodes pharmacologiques. Et ceci – ajouta-t-il énigmatiquement – semble être la solution finale. » (op. cit. pp. 373-374) Selon Julian, ce système politique serait insupportable pour les catholiques : « Certains types d’hommes devraient être exclus : l’asthénique christianisé de type général, fanatique, exagérément zélé, terrorisé par une morale excessivement rigide… de telles personnes devront être exclues de certaines charges, telles que juges des mœurs, magistrats, enseignants, et il n’y aura pas non plus de place pour eux dans l’administration » (op. cit. p. 310). Quelle actualité !

Comment garder la paix dans ces circonstances ? Montfort ne sombre pas dans un pessimisme déprimant et relève notre courage : « Ne craignez point, petit troupeau, quoique naturellement vous ayez tout à appréhender… Mais encore un coup, ne craignez point volontairement, écoutez Jésus-Christ qui vous dit : c’est moi, ne craignez point… C’est moi qui suis votre Bon Pasteur… Je vous délivrerai des pièges qu’on vous tend, des assauts du démon… Je vous cacherai sous mes ailes ; je vous porterai sur mes épaules… Je vous exaucerai dans vos prières ; je vous accompagnerai dans vos souffrances ; je vous délivrerai de tous vos maux ; je vous glorifierai de toute ma gloire que je vous montrerai dans mon royaume à découvert, après que je vous aurai comblés de jours et de bénédictions sur la terre. Ce sont là les promesses admirables que Dieu vous fait par la bouche du prophète, si vous mettez par Marie toute votre confiance en lui !  »

Pour garder la paix aujourd’hui, l’idéal, c’est la mariothérapie : Se consacrer à Marie1 dans le saint esclavage pour résister à l’esclavage mondialiste…

M. l’abbé Guy Castelain

1 Ed. Clovis – Se consacrer à Marie – 33 jours avec saint Louis-Marie Grignion de Montfort – 208 p., 2022

 

 

 

Cultivons la paix et l’optimisme 1

Vous avez certainement rencontré M. Catastrophe… Cet homme modèle, sérieux, voire grave. A la sortie de la messe ou chez des amis, il écoute attentivement ce qu’on dit. Mais à la moindre réflexion encourageante qui passe, il lance : « Je ne suis pas d’accord…C’est évident que la situation s’aggrave, le danger est là, untel a fait une erreur… Je ne sais pas comment nous allons nous en sortir… » Son discours refroidit l’ambiance, à moins qu’il ne la tende si un inconscient ose protester en apportant des éléments positifs. Le messager de mauvaises nouvelles, s’il ne se cabre pas, se recule derrière son œuvre : « Je n’ai fait que des constatations et suppositions, qui vivra verra ! » Il se tait mais le mal est fait : son entourage aura un peu moins de courage, un peu moins de douceur à opposer à la dureté de la vie ce jour-là. L’inquiétude est au cœur, elle grandit, sera probablement colportée, amplifiée, et refera la néfaste besogne.

Au-delà d’être humainement lourd à porter, le pessimisme est moralement mauvais. « Le désespoir contemporain est le fruit de l’humanité athée », pensait Saint-Exupéry. Aux âmes en état de grâce et de bonne volonté, saint Ignace de Loyola enseigne : « C’est le propre du mauvais esprit de leur causer de la tristesse, des tourments de conscience, d’élever devant elles des obstacles, de les troubler par des raisonnements faux, afin d’arrêter leurs progrès dans le chemin de la vertu. Au contraire, c’est le propre du bon esprit de leur donner du courage et des forces, de les consoler… et de les établir dans le calme2. »

Bien sûr, la croix fait partie de notre vie – rien ne se fait sans travail et sans effort – mais il nous faut chasser les tentations de tristesse, d’inquiétude et de trouble face aux difficultés, pour trouver la paix et la joie de Dieu, ouvrir les cœurs à l’amour et à l’Espérance, et fortifier les volontés pour accomplir le Bien. Le père de famille joue un rôle essentiel pour le bien de sa famille et l’équilibre de ses enfants en montrant l’exemple sur ce point.

Bienheureux les artisans de paix !

Commençons donc par accepter calmement les frictions avec les autres ou à apaiser les relations entre époux, entre enfants, en famille élargie, avec les collègues ou les voisins… « Mettre l’union dans les cœurs, c’est travailler avec Jésus ; mettre la discorde, c’est travailler avec le démon. Si donc l’occasion se présente de contribuer à rétablir ou à consolider la paix, n’y manquons jamais. D’un mot, on peut pacifier un cœur meurtri, d’un mot aussi, on peut lui donner plus d’aigreur. Si même il faut, pour le bien de la paix, faire une concession, un premier pas, un geste amical, s’il faut oublier une offense, un mauvais procédé, quelques fois briser son cœur, n’hésitons pas. Souvenons-nous que bienheureux sont les pacifiques. Jésus leur promet, en récompense de leur collaboration à son œuvre de paix, qu’ils seront fils de Dieu3. »

Si vos enfants vous voient rester en paix, chercher la paix malgré les désaccords même légitimes, malgré les soucis de la vie, ils comprendront  quelque chose de la miséricorde de Dieu et de son amour.

Si la tentation ne vient pas de nos relations humaines, elle peut venir par notre regard sur notre environnement. Est-il source de trouble et de fébrilité, ou de paix et de confiance ?

L’optimisme est-il encore possible ?

« L’optimisme est-il possible de nos jours alors que nous sommes tous accablés par le malheur, la cruelle humiliation nationale,… alors que sur le plan personnel, chacun voit chanceler le résultat du patient effort de sa vie, que le présent est dur et l’avenir imprévisible ? » se demandait Marie Pignal en 1941, comme nous pouvons nous le demander aujourd’hui. Oui, répondait-elle, l’optimisme est une vertu à travailler !

« L’optimisme est mieux qu’une disposition de tempérament, plus estimable qu’un besoin égoïste de se rassurer, plus valable qu’un désir de voir les choses s’arranger. C’est une disposition à saisir les choses de la vie dans leur profondeur, c’est-à-dire en liaison avec le sens surnaturel que Dieu, qui est tout bonheur, amour, beauté a donné au monde4. »

Pour être concrets dans ce travail, plusieurs axes s’offrent à nous. Commencer par prendre de la hauteur en relisant l’Histoire. Le Bon Dieu a utilisé les crises qu’ont traversées nos ancêtres : les débâcles politiques et religieuses avant la conversion de Clovis ; la disparition programmée de la France avant l’arrivée de Jeanne d’Arc ; le protestantisme avant la réforme du Concile de Trente…

Continuer en prenant du recul sur les bons évènements, petits ou grands, des années ou des jours passés, en observant les progrès ici ou là, dans nos enfants ou notre entourage : écoles, paroisse, projets, amis, ambiance de travail. Avec nos enfants, chanter « même le plus noir nuage a toujours sa frange d’or ! » Prendre conseil d’amis au tempérament plus positif que le nôtre sera utile pour éduquer notre regard !

Enfin, « ne traçons pas de limite aux forces qui nous dépassent. Ployons sous l’orage au lieu de reculer de quelques pas pour mieux nous dresser. Soyons plus souples devant la vie. Ne nous enfermons pas dans l’impasse de notre impuissante volonté ; restons sur le grand chemin où circule la volonté de Dieu pour recueillir les dons qu’elle nous apporte. Au lieu de porter un ultimatum aux évènements, laissons passer les desseins de Dieu et faisons Lui confiance. (…) Grâce à l’optimisme, nous garderons la lucidité du regard, la force de la volonté, le pouvoir d’action5. »

« Mais qui donc peut vous nuire si vous vous montrez zélés pour le Bien6 ? »

Le Bon Dieu attend notre confiance, nos enfants aussi !

 

Hervé Lepère

 

1 Dans cet article, nous comprendrons le mot « optimisme » comme un synonyme du mot « espérance naturellement et surnaturellement réaliste ».

2 2e règle du discernement des esprits

3 Père Mortier, op, L’Evangile

4 Le livre de la Confiance, Marie Pignal, 194

5 Idem

6 Epître de saint Pierre, au 5° dim. après la Pentecôte

 

L’unité d’une famille

 Quel bien plus précieux pour une famille que celle de son unité (I) ? En même temps, comme il est courant de la confondre avec ce qui n’en est que l’apparence (II), erreur qui provoque alors les dégâts les plus considérables (III). Évoquons ces trois points qui nous permettront de mieux comprendre comment garder et entretenir la paix familiale (IV).

I L’unité familiale 

L’unité se trouve au principe même de l’être de la société. Ainsi que le dit en effet saint Thomas d’Aquin : « Ce qui est composé n’a pas encore l’être tant que ses parties demeurent séparées, mais seulement lorsqu’elles s’unissent pour

 

 

constituer sa nature de composé. » Mais, qu’est-ce qui va établir l’unité des membres de cette société ? Il faut que tous aient à cœur le bien qui est commun à cette société et, s’il s’agit de la famille, le comprennent comme un bien inestimable qui mérite que l’on sacrifie pour lui, autant qu’il le faudra, ses intérêts personnels. C’est à la raison, éclairée par la Foi dans une société catholique, d’établir la norme commune à laquelle devront se plier le comportement et l’activité de tous.

II Vraie et fausse unité

Si, malheureusement, un membre de la famille s’émancipe d’une façon grave et durable de cette mensuration commune qui a été sagement établie par les parents, il faut faire tout ce que l’on doit pour aider cet égaré à venir à résipiscence. Puisse-t-il être touché par le dol et la peine qu’il inflige à toute sa famille ! Que Dieu soit loué si cet enfant prodigue retrouve le chemin de la vertu. Mais si, hélas, il persévère dans ses égarements, il importe que les parents, au nom d’une unité qui ne serait plus que seulement quantitative, ne fassent pas voler en éclat la vénérable règle familiale qu’ils avaient fixée, pour garder ce qui ne serait plus que l’apparence de l’unité.

III Dégâts générés par la fausse unité

Les maux qui seraient provoqués par cette faiblesse parentale seraient graves pour tous. Tous les membres de la famille subiraient les >>>         >>> conséquences de la dégradation ou de la corruption de ce qui fut la norme commune. Les membres les meilleurs perdront confiance dans leurs parents et auront tendance à s’éloigner de la famille pour ne pas cautionner par leur présence des agissements qu’ils réprouvent. Ils le feront d’autant plus que si, déjà jeunes parents, ils ont des enfants, ils auront à cœur de les protéger de scandales potentiels comme ceux de l’immodestie ou de l’intrusion d’un concubin.

Nous avons bien conscience que la prudence demande de savoir parfois tolérer certains maux, mais jamais si cette tolérance entraîne la corruption du bien de la société.

IV La paix familiale

« La paix est la tranquillité de l’ordre », et il n’est d’ordre que celui de Dieu, naturel et surnaturel. Tout l’effort familial et éducateur doit s’attacher à une généreuse et entière soumission à cet ordre divin qui demandera d’abord aux parents de s’y conformer généreusement. Leur exemple favorisera au plus haut point l’instauration d’une règle de vie familiale qui fera le bonheur vertueux de la famille car le bonheur ne s’épanouit jamais que dans la vertu.

Notre-Dame de la Sainte Famille, bénissez nos familles !

 

R.P. Joseph

 

Editorial

Chers amis,

Quand, il y a bientôt un an, nous choisissions ce thème, nous n’avions pas prévu ces derniers évènements qui ont blessé tous les catholiques par ces outrages insupportables, vus par le monde entier. Les racines chrétiennes de la France, fille aînée de l’Eglise, ont été attaquées. En tant que catholiques et en tant que Français, nous ne pouvons rester insensibles, et c’est bien en esprit de réparation que nous communierons et réciterons nos chapelets. Mais que nos ennemis prennent garde… Si les catholiques paraissent apathiques, faibles et sont des cibles faciles, ils possèdent une arme massive et invincible : la prière.

Nous ne nous habituerons pas au blasphème, nous prierons pour ceux qui ne savent pas ce qu’ils font mais nous ne pouvons accepter ces offenses faites à Dieu et nous saurons témoigner autour de nous de notre indignation ! Qui sait combien d’âmes choquées par ces excès retrouveront le chemin du Ciel ? Qui pourra compter combien d’actes de foi et combien de demandes de pardon auront provoqué ces spectacles indécents ?

Ce numéro nous aidera à ne pas nous laisser déstabiliser, à ne pas désespérer ni nous décourager ! On sait assez que ce serait là encore laisser une victoire au démon. Non ! Nous ne laisserons aucun évènement troubler notre paix et notre confiance. Chacun de ces articles saura parler à notre âme, nous apprenant comment garder paix, sérénité, mais aussi joie et sourire en toute circonstance.

Et qui mieux que Notre-Dame peut nous aider ?  « Le monde est maintenant si corrompu qu’il est comme nécessaire que les cœurs religieux en soient souillés sinon par sa boue, du moins par sa poussière, en sorte que c’est une espèce de miracle quand une personne demeure ferme au milieu de ce torrent impétueux sans en être entraînée au milieu de cette mer orageuse, sans être submergée ou pillée par les pirates et corsaires, au milieu de cet air empesté sans en être endommagée ; c’est la Vierge uniquement fidèle dans laquelle le serpent n’a jamais eu de part, qui fait ce miracle à l’égard de ceux et celles qui la servent de la belle manière1. » Monsieur l’abbé Castelain nous présente l’urgence de se consacrer à Notre-Dame.

Sachons aussi apprendre à regarder ces motifs d’espérance envoyés par Dieu pour soutenir notre fidélité : ce Congrès des familles du MCF2 qui rassemblait début juillet plus de 800 personnes, ces milliers de chapelets récités dans le monde entier grâce à l’initiative de La France prie3 (2810 lieux à ce jour en France), ces centaines de calvaires restaurés en France par SOS Calvaires4 et ses 4000 bénévoles. Que d’initiatives, certaines connues et d’autres plus discrètes, qui témoignent de la vitalité de la foi catholique et qui contribuent à faire régner le Christ dans nos vies !

O Notre-Dame des Foyers Ardents, donnez-nous l’espérance dans les incertitudes et les contradictions de la vie.  Apprenez-nous à marcher, comme vous, la main dans la main du Père céleste, pour continuer à chanter notre Magnificat dans les joies comme dans les peines.

Marie du Tertre

 

1 Traité de la dévotion à la Vierge – Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

2 https://m-c-familles.fr/activites/congres-des-familles

3 https://www.lafranceprie.org/

4 https://soscalvaires.org/ –  C.F. Ma bibliothèque : Que la Croix demeure !