Les trucs et astuces des mamans

Une rubrique qui tente de vous aider dans vos aléa domestiques.

Aujourd’hui, je vous entretiens d’un détachant à sec extraordinaire :  la Terre de Sommières

 Je l’ai découverte, grâce aux conseils d’une de mes cousines, au rayon « produits d’entretien » d’un magasin de bricolage. Cette terre très fine sait retirer naturellement les taches grasses sur les textiles, bien entendu, le cuir, le daim, mais aussi, et c’est son grand intérêt, sur le bois. J’ai déploré, trop souvent, des tâches alimentaires sur mon parquet (ouh là là, les miettes de gâteau …)Saupoudrez cette tâche de Terre de Sommières, laissez agir une nuit, disparue !Et si vous trouvez une autre tâche un peu plus loin sur votre parquet, la poudre utilisée reste toujours efficace : poussez- la, avec le balai et elle agira de même !

Que les championnes de l’organisation n’hésitent pas à partager leurs trésors en écrivant au journal.

A quoi sert le sourire?

A quoi sert le sourire ?

« La plupart des parents ne savent pas les richesses qu’ils perdent pour eux-mêmes et pour leurs enfants à ne pas leur sourire. Le sourire adoucit, calme, apaise, encourage, stimule, tonifie. C’est comme un rayon de soleil. Et puis, cela est si facile quand on a compris son importance, même si cela coûte un peu, et cela rapporte tant ! Quel dommage de s’en priver !

Aimons à raconter aux enfants les apologues des deux grenouilles ou de la rose :

Deux grenouilles allaient de concert à travers la campagne ; et voici qu’elles tombent dans une jatte de crème. La première, désespérée, renonce à la lutte et en coassant : « Je me noie, je me noie », périt asphyxiée. La seconde lutte avec énergie, rame de toutes ses forces… si bien qu’elle transforme la crème en beurre et arrive à s’en sortir…

C’est dès les premières années qu’il faut habituer l’enfant à sourire de tout : à ses parents, aux amis ; mais aussi à la vie avec ses contrariétés, ses difficultés, ses obstacles. »

Père Gaston Courtois

La femme, une créature inutile?

La femme, une créature inutile ?

     « La femme est responsable devant Dieu de ce que sa nature soit capable d’introduire partout la vie de l’esprit que Dieu a mis dans son âme. Voilà sa responsabilité. (…) Le monde moderne manque d’esprit féminin même physiquement parlant. On voit trop souvent des visages de femmes dont le miroir spirituel n’existe plus, ni dans l’expression, ni dans la parole, ni dans les regards ; trop de femmes n’imposent plus l’éblouissement de l’esprit émanant le charme du cœur selon Dieu, l’autorité d’une présence située au-delà du charnel, selon l’esprit d’amour. Car l’amour sans l’esprit est un miroir brisé. Mais me dites-vous, on ne peut pas aller là contre l’évolution sociale de la libération de la femme, c’est tout de même quelque chose… Et oui, (…) mais c’est grave de renoncer à sa nature de femme parce que non seulement c’est manquer à sa mission mais c’est mettre la pagaille dans la mission de l’homme. (…) La femme est le courant, celui qui vient de Dieu : le courant d’adoration et de sacrifice, le courant qui conseille et le courant qui soulève, le courant qui entraîne vers les hauteurs. (…) C’est la spécialité de son esprit de faire tenir debout cette cathédrale qu’est le foyer, à coups de sacrifices et d’endurance. »

R.P. de Chivré

Croque Picardière

Pour un délicieux petit dîner d’hiver à deux…. très rapide et facile à faire…

 Les Croque Picardières :

Ingrédients pour 2 personnes : 4 cuil. à soupe de crème fraîche -Vin blanc sec – 1 petit Maroilles –  50 g de gruyère râpé – 2 tranches de jambon – 4 tranches de pain grillé

Préchauffez le four à 180°C.  (Th 6). Dans le plat à œufs légèrement beurré, poser une tranche de pain grillé. Ajouter sur le pain grillé un peu de fromage râpé et la tranche de jambon. Déposer les tranches fines de Maroilles et une nouvelle couche de fromage râpé. Arroser le tout de 1 cuil. à soupe de vin blanc. Napper d’une cuil. à soupe de crème fraîche. Cuire au four en laissant gratiner 15 minutes.

BON APPÉTIT !!!

Galette des rois

Ingrédients pour 8 /10 personnes : 2 œufs – 80g de sucre – 120 g d’amandes en poudre – 60 g de beurre – 2 cuil. à soupe de rhum –  2 sachets de sucre vanillé – 1 cuil. à café d’amande amère – 2 pâtes feuilletées – 1 jaune d’œuf pour dorer. Préchauffer le four à 210°C (Th. 7) Mélanger dans l’ordre tous ces ingrédients. N’oubliez pas la fève…. Déposer la pâte obtenue sur la 1ère pâte feuilletée et recouvrez le tout par la 2nde  en soudant bien les bords. Etalez le jaune d’œuf battu au pinceau sur la pâte que vous aurez délicatement quadrillée. Enfournez pendant 30 minutes environ.

Bon appétit !

Petite histoire des arts de la table

Noël est passé avec les belles tables mises en scène pour que la joie d’un bon et beau repas accompagne celle des cœurs et des âmes pour la Nativité.
Dresser la table est un geste quotidien qui s’embellit aux grandes fêtes et qui s’inscrit dans une histoire que bien souvent nous connaissons mal, et dont les us et coutumes se sont enrichis ou appauvris au fil des temps.

Jouons à retrouver un peu leurs origines : Continuer la lecture de « Petite histoire des arts de la table »

A quoi bon ?

6h30 : le réveil résonne dans mon 20 m² rue Lecourbe à Paris ; mécaniquement, je me laisse glisser au pied de mon lit pour faire ma prière du matin.

 Une sirène qui retentit dans la rue vient à bout de ma concentration relative et mon esprit embué s’envole vers la journée qui m’attend : petit déjeuner sur le pouce. Métro bondé. Les copains de classe un peu moqueurs pour le gars en chemise et chaussures bateau ; ah c’est vrai aujourd’hui on a 4h de maths à la suite ! Encore 40 pages à ficher ce soir ! Sans oublier la khôlle d’anglais en fin d’après midi ! Et le retour ce soir tout seul dans ma cage à lapin pour manger des pâtes ou une pizza surgelée et m’attaquer à mes cours de maths !

 A quoi bon ? A quoi sert cette vie d’automate ? Pourquoi me suis-je levé d’ailleurs ? Un instant la tentation de me recoucher me chatouille l’esprit ; les draps chauds me tendent les bras. C’est à ce moment que, jetant les yeux sur le livre, endormi lui, sur ma table de nuit, (le veinard), une phrase que j’y ai lu la veille me revient à l’esprit. Elle parlait de bonheur je crois. Ah oui ça y est c’était ça : « Le bonheur n’existe que dans le don, le don complet… Donner ! Avoir vu des yeux qui brillent d’avoir été compris, atteints, comblés ! »

Donner ; voilà le sens de ma vie ; voilà pourquoi je travaille pour ce concours qui approche ; voilà pourquoi j’endure cette cohue tous les matins dans ce tube intestinal souterrain ! Voilà pourquoi je vais travailler ce soir au lieux d’aller boire un verre avec les amis. Pour donner, pour pouvoir transmettre à mon tour le magnifique trésor que j’ai reçu.

 Mais pour pouvoir donner il me faut d’abord aujourd’hui me former, et ce sur tous les plans. Nous devons être les meilleurs, les meilleurs techniquement dans notre métier, les meilleurs humainement dans nos relations professionnelles ; les meilleurs amis ; et surtout les meilleurs selon notre devoir d’état familial : aujourd’hui comme frère et fils et demain peut-être comme mari et père.

 Les meilleurs, car c’est notre honneur de catholique et à travers nous celui de notre Dieu qui est en jeu. Les meilleurs, car c’est seulement comme cela que nous serons heureux loin de la médiocrité qui nous étouffe. Les meilleurs, car c’est un fantastique défi à ce monde asphyxiant ! Les meilleurs, enfin pour ne pas avoir à rougir au moment de notre mort !

Ouh là quel programme ? Par où commencer ?

Commençons par nous ressortir du lit douillet et à nous remettre à genoux et à prier véritablement de toute notre âme, et sans doute alors nous trouverons des lumières sur la façon de procéder, et sur la façon dont Dieu veut que nous nous donnions.

Charles

Ma Bibliothèque

Ma Bibliothèque

Vous trouverez ici des titres que nous conseillons sans aucune réserve pour chaque âge de la famille.

En effet ne perdons pas de vue combien la lecture d’un bon livre est un aliment complet ! Elle augmente la puissance de notre cerveau, développe la créativité, participe à notre développement personnel, nous distrait, nous détend et enfin elle enrichit notre vocabulaire.
Il faut, dès l’enfance, habituer vos enfants à aimer les livres ! Mais, quel que soit l’âge, le choix est délicat tant l’on trouve des genres variés… N’oubliez jamais qu’un mauvais livre peut faire autant de mal qu’un mauvais ami !

Dès 4 ans : La nature au fil des mois (Gallimard ; René Mettler)
Première lecture : La famille Tant Mieux (Enid Blyton) et toute la collection à trouver d’occasion
10-12 ans : Le cheval sans tête (Hachette ; Paul Berna)
12-14 ans : Le trésor de l’île des flibustiers (Clovis, F. Hoffman)
 
A partir de 15 ans :

– Formation – pour les filles : Crois, espère et aime (Ed. Saint Rémi ; Paula Hoesl)
– pour les garçons : Petite vie de Charles de Foucauld (Ed. Via Romana ; René Bazin)
-Histoire-Culture chrétienne : Les voleurs de Dieu ; (Ed. Saint Paul ; Maria Winowska)

Parents – Adultes:
-Formation : Catéchèse Catholique du mariage (Père Barbara ; à trouver d’occasion)
-Histoire – Culture chrétienne : Madame Julie Lavergne (édition sainte Philomène ; Joseph Lavergne )

(Pour compléter cette liste, vous pouvez vous renseigner sur les Cercles de lecture, René Bazin : cercleReneBazin@gmail.com  (à partir de 16 ans- Culture, Formation)

Bonne humeur – Bonne nouvelle

Bonne humeur !

Quelques  perles du Bac à lire pour se remonter le moral quand on croit que nos enfants sont des cancres:
« Comme Bonaparte, Jules César pouvait dicter plusieurs lettres à la fois, c’était un dictateur » – Eh oui…
« Dans le monde, il n’y a que la France qui n’est pas un pays étranger » – C’est bien vrai !
« Les devoirs où ils y a des conjugaisons s’appellent des devoirs conjugaux » – Voilà qui est bien dit…                                                                        (extraits de perlesdubac.fr)

Bonnes nouvelles !

 Voici trois bonnes nouvelles pour nous entraîner à voir la vie en rose !

1) L’Arabie Saoudite vient de renoncer au calendrier islamiste pour adopter le calendrier grégorien… (Rassurez-vous, ceci pour des raisons économiques, mais nos saints vont sans doute être reconnaissants et accorder des grâces à ce pays !)

2) Le Président du Pérou, Pedro Pablo Kuczynski  a consacré son pays aux Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie, le 21 octobre 2016. D’importants dirigeants d’entreprises et des personnalités politiques ont participé à l’événement, notamment la Présidente du Congrès, Luz Salgado, qui a également fait une prière demandant à Dieu son aide et sa protection : « Je mets dans vos mains aimantes mon gouvernement avec tous les travailleurs et les citoyens qui sont sous ma responsabilité. Dieu Tout-Puissant, je vous offre mes pensées et mes décisions en tant que président afin de les utiliser pour le bien de notre pays et de toujours être conscient des Dix Commandements pour gouverner. Je demande à Dieu, par l’intercession du Sacré-Cœur de Jésus et du Cœur Immaculé de Marie, d’écouter et d’accepter mon acte de consécration et de couvrir notre pays d’une protection spéciale. » (Source : La Porte Latine)

 3) C’est Notre-Dame de Rocamadour qui veille sur la course du Vendée globe cette année. Sa statue est arrivée en bateau le 31 octobre aux Sables-d’Olonne et a été accueillie solennellement. Elle fut conduite en Procession jusqu’à Notre-Dame du Bon Port. 2000 cierges avaient été prévus et il n’y en a pas eu assez ! Jusqu’au retour du dernier skipper, des bougies sont allumées jour et nuit autour d’elle. Une sportelle (médaille ovale qui reproduit le sceau du prieuré de Rocamadour : la Vierge siégeant sur un trône, un sceptre fleurdelisé dans la main droite et l’Enfant Jésus sur le  genou gauche) a été offerte à chacun des participants de la course. La plupart des skippeurs l’ont d’ailleurs fait reproduire en résine « époxy », (car initialement en métal, elle aurait pu rouiller) et l’ont incrustée dans la coque de leur bateau ! Que Notre-Dame veille sur eux !

Il t’attend

Il t’attend

Dans la clarté du jour ou la profondeur de la nuit,
Dans l’humble tâche domestique, le soin aux malades ou le travail de bureau,
Dans le réel douloureux ou le souhait réalisé,
Dans l’espoir brisé et la lente reconstruction,
Il t’attend.

Dans la première pensée du matin, et l’examen le soir de la journée,
Dans le rire, dans la joie, ou la peine intérieure,
Dans la main tendue à la misère qui est tienne,
Il t’attend.

Dans ton choix de détente, dans le sacrifice offert,
Dans le peu de temps que peut-être tu lui donneras,
Dans tes doutes, et tes deuils, dans ton histoire heureuse ou douloureuse,
Il t’attend.

Dans le signe de croix, dans le « Je vous salue Marie »
Dans le silence de la prière, dans l’adoration à genoux,
Même dans ce que tu rejettes,
Il t’attend.

Il t’attend toujours, inlassablement, au seuil de ton cœur qui Lui a été donné au baptême,
Il s’y tient doux et humble comme un mendiant.
Il attend que tu lui ouvres toute grande la porte, sans calculer, sans marchander et sans honte.
Il t’a tout donné, d’abord sur la croix, et ensuite quand il t’a appelée à la vie,
A travers ton histoire, ce que tu as reçu de ta famille, de tes amis, de tes supérieurs,
Il donne toujours et sans cesse, sans se lasser, avec une infinie patience,
Il t’attend.

Il est une Personne Vivante, et tu comptes à ses yeux plus que tout,
Quelle que soit ton histoire, tes blessures et tes faiblesses,
Il veut remplir ton cœur, à profusion, source intarissable,
Il t’attend, et c’est comme s’il n’attendait que toi.

Donne-toi toute entière.
Tu vivras.

Jeanne de Thuringe