La Jardinière du Roy (1933) (Chanson populaire de la Suisse romande) Gustave Doret ( 1866-1943) – Chanoine Joseph Bovet (1879 – 1951)
On dit que la plus fière, c’est toi, c’est toi
À l’aube quand j’arrose chez moi, chez moi
Le soir quand traîne l’ombre chez moi, chez moi
Aux fêtes de la reine, crois-moi, crois-moi |
Catégorie : Bel Canto
Cantique à Sainte Jeanne d’Arc
Le 30 mai prochain, nous fêterons l’une des patronnes secondaires de la France, sainte Jeanne d’Arc.
Amour de Dieu, amour de l’Eglise, amour de la patrie… Que de raisons d’invoquer, et d’imiter notre grande sainte, tant ces trois amours qui l’ont animée ont aujourd’hui besoin d’être transmises.
Ce cantique à la mélodie simple, est facile à retenir et à chanter par petits et grands.
Jeanne, Seigneur, est ton œuvre splendide
Un cœur de feu, une âme de guerrier
Tu les donnas à la vierge timide
Que tu voulais couronner de lauriers.
Refrain
Sainte Jeanne de France
Notre espérance repose en vous
Sainte Jeanne de France
Priez, priez pour nous.
Jeanne entendit dans son humble prairie
Des voix du Ciel l’appeler au combat
Elle partit pour sauver la patrie
La douce enfant à l’armée commanda.
Des fiers guerriers elle gagna les âmes
L’éclat divin de l’envoyée des Cieux
Son pur regard, ses paroles de flammes
Surent courber les fronts audacieux….
Jeanne, c’est toi notre unique espérance
Du haut des Cieux, daigne entendre nos voix
Descends vers nous, viens convertir la France
Viens la sauver une seconde fois.
https://www.youtube.com/watch?v=wb7zokdXbnY
La rumeur
Yves Duteil (né le 24 juillet 1949)
Conclusion pessimiste pour cette œuvre talentueuse et très réaliste, qui nous met en garde, comme l’illustration ci-contre de Norman Rochwell (1894-1978), contre les ravages que peut causer un bavardage malveillant.
Mais de « la rancœur » annoncée à la fin de la chanson, non ! Le pardon oui, et pourquoi pas, la demande de bénédictions envers la personne qui nous a fait du tort.
La rumeur ouvre ses ailes
Elle s’envole à travers nous
C’est une fausse nouvelle
Mais si belle, après tout
Elle se propage à voix basse
À la messe et à midi
Entre l’église et les glaces
Entre confesse et confit.
La rumeur a des antennes
Elle se nourrit de cancans
Elle est bavarde et hautaine
Et grandit avec le temps
C’est un arbre sans racines
À la sève de venin
Avec des feuilles d’épines
Et des pommes à pépins.
Ça occupe, ça converse
Ça nourrit la controverse
Ça pimente les passions
Le sel des conversations
La rumeur est un microbe
Qui se transmet par la voix
Se déguise sous la robe
De la vertu d’autrefois
La parole était d’argent
Mais la rumeur est de plomb
Elle s’écoule, elle s’étend
Elle s’étale, elle se répand.
C’est du miel, c’est du fiel
On la croit tombée du ciel
Jamais nul ne saura
Qui la lance et qui la croit
C’est bien plus fort qu’un mensonge
Ça grossit comme une éponge
Plus c’est faux, plus c’est vrai
Plus c’est gros et plus ça plaît
Calomnie, plus on nie
Plus elle enfle se réjouit
Démentir, protester
C’est encore la propager.
Elle peut tuer sans raison
Sans coupable et sans prison
Sans procès ni procession
Sans fusil ni munitions
C’est une arme redoutable
Implacable, impalpable
Adversaire invulnérable
C’est du vent, c’est du sable
Elle rôde autour de la table
Nous amuse ou nous accable
C’est selon qu’il s’agit
De quiconque ou d’un ami.
Un jour elle a disparu
Tout d’un coup, dans les rues
Comme elle était apparue
À tous ceux qui l’avaient crue
La rumeur qui s’est tue
Ne reviendra jamais plus
Dans un cœur, la rancœur
Ne s’en ira pas non plus.
La rumeur
Yves Duteil (né le 24 juillet 1949)
Conclusion pessimiste pour cette œuvre talentueuse et très réaliste, qui nous met en garde, comme l’illustration ci-contre de Norman Rochwell (1894-1978), contre les ravages que peut causer un bavardage malveillant.
Mais de « la rancœur » annoncée à la fin de la chanson, non ! Le pardon oui, et pourquoi pas, la demande de bénédictions envers la personne qui nous a fait du tort.
La rumeur ouvre ses ailes
Elle s’envole à travers nous
C’est une fausse nouvelle
Mais si belle, après tout
Elle se propage à voix basse
À la messe et à midi
Entre l’église et les glaces
Entre confesse et confit.
La rumeur a des antennes
Elle se nourrit de cancans
Elle est bavarde et hautaine
Et grandit avec le temps
C’est un arbre sans racines
À la sève de venin
Avec des feuilles d’épines
Et des pommes à pépins.
Ça occupe, ça converse
Ça nourrit la controverse
Ça pimente les passions
Le sel des conversations
La rumeur est un microbe
Qui se transmet par la voix
Se déguise sous la robe
De la vertu d’autrefois
La parole était d’argent
Mais la rumeur est de plomb
Elle s’écoule, elle s’étend
Elle s’étale, elle se répand.
C’est du miel, c’est du fiel
On la croit tombée du ciel
Jamais nul ne saura
Qui la lance et qui la croit
C’est bien plus fort qu’un mensonge
Ça grossit comme une éponge
Plus c’est faux, plus c’est vrai
Plus c’est gros et plus ça plaît
Calomnie, plus on nie
Plus elle enfle se réjouit
Démentir, protester
C’est encore la propager.
Elle peut tuer sans raison
Sans coupable et sans prison
Sans procès ni procession
Sans fusil ni munitions
C’est une arme redoutable
Implacable, impalpable
Adversaire invulnérable
C’est du vent, c’est du sable
Elle rôde autour de la table
Nous amuse ou nous accable
C’est selon qu’il s’agit
De quiconque ou d’un ami.
Un jour elle a disparu
Tout d’un coup, dans les rues
Comme elle était apparue
À tous ceux qui l’avaient crue
La rumeur qui s’est tue
Ne reviendra jamais plus
Dans un cœur, la rancœur
Ne s’en ira pas non plus.
https://open.spotify.com/search/la%20rumeur%20yves%20duteil
Bergers, quelle est cette odeur agréable ?
Noël français traditionnel. Les paroles sont curieusement associées à la musique de John Gay dans « l’Opéra des gueux » (The Beggars’ Opera, 1728).
Ce chant de Noël français nous a quasiment été ravi par les Anglais. Il appartient ainsi aux « Christmas Carols » (What is thas fragrance ?) et paraît beaucoup plus populaire chez nos voisins britanniques que chez nous. Les Christmas Carols (chants ou hymnes de Noël) ont pour certains été entonnés dès le XIIIè siècle. Ils sont toujours chantés dans les églises mais aussi dans les rues des villes et villages, au Royaume-Uni, au Canada, aux Etats-Unis à l’approche de Noël et contribuent ainsi à favoriser la piété populaire. D’autres pays pratiquent cette tradition des chorales de Noël en plein air tels la Russie, la Pologne, les Pays-Bas… Une coutume à introduire en France ?
Quelle est cette odeur agréable,
Bergers, qui ravit tous nos sens ?
S’exhale-t-il rien de semblable
Au milieu des fleurs du printemps ?
Quelle est cette odeur agréable
Bergers, qui ravit tous nos sens ?
Mais quelle éclatante lumière
Dans la nuit vient frapper nos yeux
L’astre de jour, dans sa carrière,
Fut-il jamais si radieux ?
Mais quelle éclatante lumière
Dans la nuit vient frapper nos yeux.
Voici beaucoup d’autres merveilles !
Grand Dieu ! Qu’entends-je dans les airs ?
Quelles voix ! Jamais nos oreilles
N’ont entendu pareils concerts.
Voici beaucoup d’autres merveilles !
Grand Dieu ! Qu’entends-je dans les airs ?
Ne craignez rien, peuple fidèle
Écoutez l’ange du Seigneur ;
Il vous annonce une merveille
Qui va vous combler de bonheur.
Ne craignez rien, peuple fidèle
Écoutez l’ange du Seigneur.
A Bethléem, dans une crèche
Il vient de vous naître un Sauveur
Allons, que rien ne vous empêche
D’adorer votre rédempteur
A Bethléem, dans une crèche,
Il vient de vous naître un Sauveur.
Dieu tout puissant, gloire éternelle
Vous soit rendue jusqu’aux cieux.
Que la paix soit universelle
Que la grâce abonde en tous lieux.
Dieu tout puissant, gloire éternelle
Vous soit rendue jusqu’aux cieux.
Quelle est cette odeur agréable,
Bergers, qui ravit tous nos sens ?
S’exhale-t-il rien de semblable
Au milieu des fleurs du printemps ?
Quelle est cette odeur agréable
Bergers, qui ravit tous nos sens ?
Mais quelle éclatante lumière
Dans la nuit vient frapper nos yeux
L’astre de jour, dans sa carrière,
Fut-il jamais si radieux ?
Mais quelle éclatante lumière
Dans la nuit vient frapper nos yeux.
Voici beaucoup d’autres merveilles !
Grand Dieu ! Qu’entends-je dans les airs ?
Quelles voix ! Jamais nos oreilles
N’ont entendu pareils concerts.
Voici beaucoup d’autres merveilles !
Grand Dieu ! Qu’entends-je dans les airs ?
Ne craignez rien, peuple fidèle
Écoutez l’ange du Seigneur ;
Il vous annonce une merveille
Qui va vous combler de bonheur.
Ne craignez rien, peuple fidèle
Écoutez l’ange du Seigneur.
A Bethléem, dans une crèche
Il vient de vous naître un Sauveur
Allons, que rien ne vous empêche
D’adorer votre rédempteur
A Bethléem, dans une crèche,
Il vient de vous naître un Sauveur.
Dieu tout puissant, gloire éternelle
Vous soit rendue jusqu’aux cieux.
Que la paix soit universelle
Que la grâce abonde en tous lieux.
Dieu tout puissant, gloire éternelle
Vous soit rendue jusqu’aux cieux.
Interprétation par la Maîtrise de Toulouse sous la direction de Mark Opstad
https://open.spotify.com/search/Quelle%20est%20cette%20odeur
Saints de France
Refrain :
Saints de France à qui notre histoire
Doit ses jours de plus belle gloire,
Dans le malheur et le danger
Vous saurez bien nous protéger (bis)
- De la France qui se lève,
Dieu bénit le clair matin.
Par Clotilde et Geneviève,
Saint Rémi et Saint Martin.
- Des vieux Francs, la foi profonde
De l’Eglise est le soutien.
Et Saint Louis présente au monde
L’idéal du Roi chrétien.
- Pour transmettre les messages
De son Cœur victorieux,
Dieu choisit nos vierges sages
De Paray et de Lisieux
- Quand se meurt la France en larmes,
Le secours lui vient du Ciel.
Jeanne d’Arc reçoit ses armes
De l’archange Saint Michel.
- O grands Saints la France est fière
De compter près du Seigneur,
Tant d’élus dont la prière
Est un gage de bonheur.
A écouter dans les productions du Chœur Montjoie Saint Denis
Les trois cloches
(Jean Villard -1946)
Les Compagnons de la Chanson
(interprétation de 2001)
1.Village au fond de la vallée
Comme égaré presqu’ignoré
Voici qu’en la nuit étoilée
Un nouveau-né nous est donné
Jean-François Nicot, il se nomme
Il est joufflu, tendre et rosé.
A l’église, beau petit homme
Demain, tu seras baptisé.
Une cloche sonne, sonne
Sa voix d’écho en écho
Dit au monde qui s’étonne
C’est pour Jean-François Nicot
C’est pour accueillir une âme
Une fleur qui s’ouvre au jour
A peine, à peine, une flamme
Encore faible qui réclame
Protection, tendresse, amour.
2.Village au fond de la vallée,
Loin des chemins, loin des humains
Voici qu’après dix-neuf années
Cœur en émoi le Jean-François
Prend pour femme la douce Elise
Blanche comme fleur de pommier
Devant Dieu, dans la vieille église
Ce jour, ils se sont mariés.
Toutes les cloches sonnent, sonnent
Leur voix d’écho en écho
Merveilleusement couronne
La noce à François Nicot
Un seul cœur, une seule âme
Dit le prêtre, et pour toujours,
Soyez une pure flamme
Qui s’élève et qui proclame
La grandeur de votre amour.
3.Village au fond de la vallée,
Des jours, des nuits, le temps a fui
Voici qu’en la nuit étoilée
Un cœur s’endort, François est mort.
Car toute chair est comme l’herbe
Elle est comme la fleur des champs
Epis, fruits mûrs, bouquets et gerbes,
Hélas ! Tout va se desséchant.
Une cloche sonne, sonne
Elle chante dans le vent
Obsédante et monotone
Elle redit aux vivants :
Ne tremblez pas cœurs fidèles
Dieu vous fera signe un jour
Vous trouverez sous son aile
Avec la vie éternelle
L’éternité de l’Amour.
https://open.spotify.com/album/4HObONVnC5gbXEPQ9tRK2v
15 août
Pour le 15 août …
– Un cantique bien connu, « De concert avec les Anges » dont on peut trouver la partition sur le net.
– Et sur la mélodie grégorienne Ait Dominus : « Marie ô douce Reine », des paroles composées par le chœur des moines d’une abbaye bénédictine canadienne.
La similitude du refrain a conduit à cette double sélection.
De concert avec les Anges
- De concert avec les anges,
Nous voulons, Reine des cieux,
Célébrer par nos louanges
Vos mérites glorieux
Refrain
De Marie
Qu’on publie
Et la gloire, et les grandeurs
Qu’on l’honore, qu’on l’implore
Qu’elle règne sur nos cœurs.
- Auprès d’elle la nature
Est sans grâce et sans beauté
Les cieux perdent leur parure
Le soleil perd sa clarté
- C’est le lys de la vallée,
Son parfum délicieux
Sur la terre désolée
Attira le Roi des cieux
- C’est la Vierge incomparable
C’est la gloire d’Israël
Elle sauve le coupable
Et fléchit le cœur du ciel.
- Pour tout dire, c’est Marie
Dans ce nom, que de douceurs,
Dans ce nom que d’harmonie
Quel espoir pour les pécheurs.
- Oui je veux, ô tendre Mère,
Et jusqu’au dernier soupir,
Te servir, t’aimer, te plaire
Et pour toi vivre et mourir.
Le Chœur de la Joyeuse garde
https://www.youtube.com/watchv=9djiXwJ5R0A
Marie, ô douce Reine
Marie, ô douce Reine,
Plus belle que le jour
Le monde est ton domaine
Le Ciel est ton séjour
Refrain :
De Marie qu’on publie
Et la gloire et les grandeurs
Qu’on l’honore et qu’on l’implore
Qu’elle règne sur le monde
Vierge pure et sans péché
O toi Reine des Cieux
Que la céleste clarté
Sur nous, baisse les yeux
Notre Mère à chaque jour
Vers toi nous soupirons
Implore ton Fils pour nous
Obtiens-nous son pardon
Que ta douce influence
Protège tes enfants
De grâce et d’innocence
Qu’ils soient resplendissants…
Sur nos pas ô Marie
Ecarte de la main
Les peines de la vie
Les ronces du chemin
Rends à l’âme souillée
L’amour d’espoir à temps
O Vierge immaculée
Rends-nous purs comme autrefois….
Chœur des moines de l’Abbaye Saint Benoit du Lac Québec (Canada)
https://open.spotify.comalbum/1DoC5OrRGEYoo9TajXzG4g
Attention : avant-dernier de la liste
Bonne fête Maman!
« Mamma »
1940
Cesare Andrea Bixio (1896-1978)
Paroles de Bixio Cherubini—Interprétation par Benjamino Gigli (1890-1957)
(« Le plus grand ténor après Caruso »)
Un choix italien, (en pensant à nos amis d’Italie, les plus durement éprouvés), et pour fêter toutes les mamans.
Mamma, son tanto felice
perché ritorno da te.
La mia canzone ti dice
ch’c il piu bel sogno per me !
Mamma son tanto felice …
Viver lontano perché ?
Maman, je suis tellement heureux
Parce que je retourne à toi.
Ma chanson te dit
Que c’est la plus belle journée pour moi !
Maman je suis tellement heureux …
Vivre loin, pourquoi ?
Mamma, solo per te la mia canzone vola,
Mamma, sarai con me,
Tu non sarai piu sola !
Quanto ti voglio bene !
Queste parole d’amore che ti sospira il mio cuore
Forse non s’usano piu,
Mamma !
Ma la canzone mia piu bella sei tu !
Sei tu la vita
E per la vita non ti lascio mai piu !
Maman, juste pour toi vole ma chanson,
Maman, tu seras avec moi,
Tu ne seras plus seule !
Je veux tellement ton bien !
Ces paroles d’amour que te soupire mon cœur
Ne résonnent peut-être plus,
Maman !
Mais ma plus belle chanson, c’est toi !
Tu es la vie
Et pour la vie je ne te quitterai plus jamais !
Sento la mano tua stanca
Cerca i miei riccioli d’or.
Sento, e la voce ti manca,
La ninna nanna d’allor.
Oggi la testa tua bianca
Lo voglio stringere al cuor
Je sens ta main fatiguée
Chercher mes boucles d’or.
Je sens que la voix te manque,
La berceuse d’alors.
Aujourd’hui ta tête est blanche
Je veux la serrer contre mon cœur.
Mamma, solo per te la mia canzone vola,
Mamma, sarai con me,
Tu non sarai piu sola !
Queste parole d’amore che ti sospira il mio cuore
Forse non s’usano piu,
Mamma !
Ma la canzone mia piu bella sei tu !
Sei tu la vita
E per la vita non ti lascio mai piu !
Mamma … mai piu !
Maman, juste pour toi vole ma chanson,
Maman, tu seras avec moi,
Tu ne seras plus seule !
Ces paroles d’amour que te soupire mon cœur
Ne résonnent peut-être plus,
Maman !
Mais ma plus belle chanson, c’est toi !
Tu es la vie
Et pour la vie je ne te quitterai plus jamais !
Maman … plus jamais !
https://open.spotify.com/search/Mamma%20Bixio%20Gigli
Mariez-vous belles!
Nana Mouskoury (née en 1934, à La Canée, Créte)
Nous quittons les Pâques nous sommes au printemps
Nous quittons les Pâques nous sommes au printemps
Les vignes sont belles les blés vont grainant
Mariez-vous belles n’attendez plus tant
Mariez-vous belles n’attendez plus tant
Les vignes sont belles les blés vont grainant
Les vignes sont belles les blés vont grainant
Et la violette fleurit dans les champs
Mariez-vous belles n’attendez plus temps
Mariez-vous belles n’attendez plus tant
Et la violette fleurit dans les champs
Et la violette fleurit dans les champs
Bel amant qui passe en cueillit longtemps
Mariez-vous belles n’attendez plus tant
Mariez-vous belles n’attendez plus tant
Bel amant qui passe en cueillit longtemps
Bel amant qui passe en cueillit longtemps
Les a cueillies toutes dans le bois charmant
Mariez-vous belles n’attendez plus tant
Mariez-vous belles n’attendez plus tant
Les a cueillies toutes dans le bois charmant
Les a cueillies toutes dans le bois charmant
Quand seront fanées ne sera plus tant
Mariez-vous belles n’attendez plus tant
Mariez-vous belles n’attendez plus tant